Déclaration de la communauté scientifique à propos de la fraude des momies extraterrestres

Cette communauté scientifique se présente aux médias en contradiction avec les déclarations des scientifiques mobilisés par l’Instituto Inkari Cusco… De l’argumentation et attitude scientifique à la profession de foi, qui sont les représentants de la science du XXIe siècle ? Faites-vous une opinion !

Reprenons point par point les « arguments » défendus par ces fonctionnaires du Ministère de la culture péruvien.

Texte original publié en espagnol et en anglais sur Facebook

Les adhérents à ce document, membres de la communauté scientifique nationale et internationale, experts dans l’étude et la conservation des restes humains (momies et squelettes), nous communiquons ce qui suit :

  1. depuis quelque temps, la soi-disant découverte de « Momies extraterrestres » dans notre pays est vient par une campagne de désinformation irresponsable.
  2. les témoignages et les images publiées permettent d’affirmer que ces découvertes correspondent, sans aucun doute, à des restes humains précolombiens, patrimoine culturel de la nation, malicieusement manipulés et même mutilés pour obtenir une apparence « Ad hoc » pour leur Exploitation commerciale. En outre, l’exclusion de tout le contexte archéologique connexe est tout à fait contraire à la recherche scientifique de ce type de biens culturels.
  3. il appartient aux autorités de faire les plaintes correspondantes, car cette « production » a enfreint de nombreuses règles nationales et internationales qui veillent à la défense du patrimoine culturel. Nous espérons que ces mêmes autorités chercheront à assurer la protection et la recherche appropriées de ces restes, ainsi que leur lieu d’origine, afin d’arrêter le huaqueo et le trafic de restes humains. Nous attendons également des sanctions exemplaires pour les responsables de cette prédation du patrimoine qui est de tous les péruviens et de l’humanité.
  4. Enfin, ces actions illégales et criminelles dans un corps humain violent la dignité humaine. En particulier, l’exploitation de momies précolombiennes par ces personnes, agresse et offense la culture andine, en faisant croire que leurs réalisations sont dues à une prétendue  » aide extérieure Nous offrons nos meilleurs offices pour collaborer avec les autorités pour démontrer nos affirmations dans les instances concernées. Nous proposons également de participer à des activités qui contribuent à défendre et à souligner l’importance de notre patrimoine culturel, héritage de nos ancêtres.

Lima, le 10 juillet 2017

Sonia Guillén o ‘ negglio (CNI 04649168), Guido Lombardi Almonacín (CNI 06959233), Elsa Tomasto-Cagigao (CNI 07258405), Maria Del Carmen Vega Dulanto (CNI 10308912), Mellisa Lund Valle (CNI 07763061), Patricia Maita (CNI 25835019), Martha Palma (CNI 10537749), Carlos Herz Sáenz (CNI 07913390), Alejandra Valverde Barbosa (CNI 48813194), Marcela Urizar Vergara (ci 11347428-9), Claudia Aranda (CNI : 20056087). ), Leandro Luna (CNI : 23511760), Paula Conception Miranda (CNI 29497158), Alejandro Vazquez Reyna (CNI 30651135).


Leurs propos

« membres de la communauté scientifique nationale et internationale, experts dans l’étude et la conservation des restes humains (momies et squelettes) »

Argument d’autorité visant à influencer le public et à insinuer que les spécialistes ayant procédé aux analyses médicales seraient moins compétents voire pas du tout.

Nos réponses

Les scientifiques mobilisés par l’Institut Inkari Cusco sont pourvus de diplômes de doctorats décernés par les université de quatre continents. On compte par exemple parmi eux des médecins, médecin légiste, anthropologue légiste, professeur en archéologie, professeur de médecine, spécialiste en imagerie médicale, professeurs de physique, chirurgiens de plusieurs spécialités, spécialiste des os, spécialiste en analyse génétique, professeur de biochimie, docteur en neuroscience, etc.
Les membres de la communauté scientifiques à l’origine de la déclaration ont tenté de les comparer à eux afin d’attaquer leur crédibilité. Malgré cette agression subtile, les scientifiques mobilisés par l’Institut Inkari Cusco ont choisi de répondre en employant le langage de la science.
Ils ont publié leurs analyses, et ont accepté de répondre aux médias sur toutes les questions relevant de la science et de leurs examens physiques des matériaux biologiques en question.

Les argumentations ont été développées à l’oral et à l’écrit avec des photos, des examens et tout ce que peut comporter une démonstration rationnelle scientifique.

Leurs propos

« une campagne de désinformation irresponsable. »

Opinion
Aucun examen physique des corps ou des organes
Aucune analyse , aucune preuve
Aucune d’argumentation scientifique
Seulement de la diffamation

Nos réponses

Les scientifiques et les médecins, ont procédé à des examens physiques, ont consulté les scanners, les radios et l’ensemble des données avant de formuler le moindre compte rendu et déclarer l’authenticité des corps.
Voici plusieurs de leurs travaux partagés à l’international en trois langues.

Toutes les déclarations sont accompagnées de preuves matérielles tirées des scanners, des radiographies et d’examens physiques. Leurs compte rendus sont consultables par internet et sont formulés dans le langage de la science, celui de chacun des spécialistes.

Leurs propos

« … ces découvertes correspondent, sans aucun doute, à des restes humains précolombiens – patrimoine culturel de la nation – volontairement manipulés et même mutilés… »

Opinion, préjugés
Absence d’examen physique et de consultation des résultats des analyses ainsi que des comptes rendus médicaux.

Nos réponses

Les médecins et autres spécialistes ayant procédé aux examens physiques ont formulés des comptes rendus médicaux et constatent que les corps sont :

  • répartis en deux espèces,
  • exempts de cicatrices,
  • exempts d’incisions.

L’une d’elle (Reptile humanoïde) est décrite pour la première fois dans l’histoire des sciences biologiques, avec des caractéristiques reptiliennes mais un aspect humanoïde. On note que :

  • Les mains et les pieds à trois doigts ne sont pas des déformations répertoriées dans des maladies congénitales.
  • Les squelettes des mains et des pieds sont en corrélation anthropométriques.
  • Les crânes macrocéphales ne montrent pas la moindre trace de pression mécanique artificielle, visant à produire cet allongement.
  • Le cou est rétractable.
  • Le corps ne possède pas de glandes mammaires.
  • Il présente un sexe gonochorique (mâle et femelle), la femelle et le mâle possèdent une ouverture cloacale transversale entre les jambes.
  • Sa reproduction est de type ovipare.

Une description de ces êtres relève que :

Cette espèce mesure environ 58,5 cm. à la taille adulte, possède une tête macrocéphales allongée en arrière de forme ovoïdale plus grosse à l’avant et terminant presque en pointe à l’arrière, complétée par trois arêtes ou crêtes au-dessus de la tête, sans poils, sans cloison nasale et sans oreille.

C’est la première fois qu’une espèce avec la caractéristique de présenter un foramen magnum de forme carrée est décrite. La localisation du foramen magnum se trouve dans la deuxième fosse crânienne et non sur le plancher arrière comme chez l’Homo sapiens ou le gorille.

Elle présente des différences dans sa structure anatomique (ni radius, ni cubitus ni os carpiens), ce qui par homologie évolutive implique qu’elle ne partage pas d’ancêtre commun connu sur terre.

Ses mains par analogie sont anatomiquement similaires au dinosaure Velociraptor disparu depuis longtemps, En position de pronation avec des doigts longs et gros terminés par des ongles.

Dans les mains tridactyles « séparées » qui mesurent près de 35 cm de longueur et dont les doigts font 22 cm, l’ongle occupe 90% de la phalange distale. Il est long et épais. Rappelons que chez l’Homo Sapiens, l’ongle occupe seulement 50% de la phalange distale.

Par ailleurs, les radios de certaines mains tridactyles, montrent que chaque doigt possède 6 phalanges, donc 18 en tout. L’hypothèse d’un montage artificiel d’une telle main imposerait l’usage des phalanges d’une main et demi pour construire une main tridactyle ! C’est-à-dire pas moins de trois mains supplémentaires par paire de mains tridactyles. Le procédé devient alors très compliqué, car il impose à la fois, d’employer les os de différentes mains, de différentes personnes tout en aboutissant à l’ensemble des caractères présentées simultanément par les organes tridactyles tels que :

  • la corrélation anthropométrique de chaque os des phalanges,
  • leur symétrie anatomique, leur corrélation phénotypique,
  • leurs capacités fonctionnelles.
  • Et tout cela sans évoquer l’absence de trace d’intervention chirurgicale, (ni incision, ni déchirure, ni cicatrice)

Reproduction : espèce gonochorique (femelle et mâle), femelle ovipare pond un nombre de 3 oeufs par ponte, l’embryon commence son développement après son oviposition, les deux ont une fente cloacale entre les jambes.

Dimorphisme sexuel : le mâle présente des membres légèrement plus longs et le tronc légèrement plus petit que la femelle et la partie centrale de la clavicule est protubérante chez le mâle.

Locomotion : Plantigrade bipède, avec trois longs orteils à chaque pied terminé par des ongles.

L’autre espèce (Jamin Palpanensis) est un spécimen de 1m70. Les phalanges distales des pieds servent de point d’appui pour les grands orteils, elles sont adaptées de manière évolutive en étant positionnées à angle droit à 90 ° vers le bas (infalsifiable). Ils servent de support et d’amortissement aux longs doigts pour le processus de marche bipède, évitant ainsi le taraudage des doigts au sol, ils présentent des rainures et / ou empreintes digitales horizontales. ( infalsifiable). On a pu observer une modification évolutive des phalanges distales du pied, ainsi que la présence de « coussinets » arrondis avec des rainures parallèles et horizontales et / ou des empreintes digitales.

Dans les mains de la momie María on trouve les types d’articulations suivants :

  • Articulation carpienne phalangienne
  • Articulation interphalangienne proximale et
  • Articulation interphalangienne distale.

Il n’y a pas d’articulation carpo métarcapienne, en raison de l’absence d’os métacarpiens, donc il n’y a pas de paume de la main.La main se compose d’un total de 15 phalanges Et 12 points d’articulation dans les doigts ainsi que les ongles de type hominidé qui couvrent presque entièrement la phalange distale. La longueur de chacun des doigts est de 17 cm.
La possibilité que cela correspond à une manipulation dans le passé ou dans le présent a été complètement éliminée en raison de l’absence de preuves scientifiques telles que coupures, sutures, déchirures et / ou tout autre processus de manipulation qui pourrait confirmer qu’elle se soit produite.

La datation des doigts aussi bien des mains que des pieds coïncide avec le reste du corps de la momie Maria, de sorte que les structures anatomiques caractéristiques de ce spécimen correspondent à 100%, son authenticité a donc été confirmée.
Elle présente un nombre d’environ 26 vertèbres pour la colonne vertébrale, chez l’être humain ce nombre est de 32.

D’autre part, les datations réalisées démontrent que ces êtres ont existé et vécu bien avant l’apparition des civilisations précolombiennes et les ont rencontrés bien plus tard.

De nombreuses caractéristiques anatomiques non humaines ont été énumérées. L’absence de traces d’interventions chirurgicales est constatée. L’absence dans les maladies congénitales d’organes déformés de cette façon est avéré dans la Classification internationale des maladies est publiée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
La distinction de deux espèces différentes de l’espèce humaine.
L’approche descriptive et comparative avec l’espèce humaine est bien scientifique.

Leurs propos

« Nous espérons que ces mêmes autorités chercheront à assurer la protection et l’étude appropriées de ces restes, ainsi que de leur lieu d’origine, afin d’arrêter le pillage et le trafic de restes humains. Nous attendons également des sanctions exemplaires pour les responsables de cette prédation du patrimoine qui appartient à tous les Péruviens et à toute l’humanité. »

Opinion morale et s’appuyant sur la légalité.
Les idées préconçues sur la nature des matériaux ne sont pas confirmées par des preuves ou une argumentation. Absence totale de démonstration scientifique.

Nos réponses

L’institut Inkari Cusco a informé le ministère de la culture péruvienne dès janvier 2017, puis la présidence de la république de façon formelle. Les preuves de ces courriers ont été présentés au grand public ainsi qu’à la justice péruvienne.
En France, l’Institut Inkari Cusco a informé le Président de la République et les preuves de ce communiqué seront employées si nécessaire.
Rappelons que sans l’intervention de l’Institut Inkari Cusco, la totalité des matériaux auraient disparus dans des collections privées et auraient quitté le territoire national du Pérou. Alors que depuis janvier 2017, l’Institut Inkari Cusco en appelle à la pertinence des gouvernements et de l’UNESCO.
Aujourd’hui des initiatives de pétition auprès des gouvernements ont été inspirés par l’action de l’Institut Inkari Cusco.

Malgré l’inertie des pouvoirs publics, l’institut Inkari Cusco insiste pour mobiliser l’UNESCO qui pourra contrôler ces découvertes et mener les recherches scientifiques adéquates.
Démarche rationnelle.

Leurs propos

« Enfin, ces manipulations illégales et criminelles de restes humains violent la dignité humaine. »

Opinion morale et s’appuyant sur la légalité.
Négationnisme quant aux résultats des analyses. Pas d’arguments scientifiques.
A quel moment parlent-ils pour la science ?

Nos réponses

Après un examen physique, les médecins ont déclaré la non-appartenance des momies à l’espèce humaine.

Les médecins ont procédé à des prélèvements en vue d’analyses génétiques et de datations. Ce qui fait partie des procédures scientifiques fondamentales pour en mesurer la nature, la datation et l’authenticité.

Toutes les actions liées aux analyses ont élargi la connaissance scientifique.
Elles sont conformes aux procédures menées par la science sur tous les continents.

Leurs propos

« En particulier, l’exploitation de momies précolombiennes par ces personnes est une agression et une offense envers la Culture Andine, en faisant croire que ses réalisations sont liées à une prétendue « aide extérieure. »

Préjugés – Négationnisme devant les résultats d’analyses.
Le terme d’ « aide extérieure » est imprécis. Faut-il comprendre extraterrestre ?

Nos réponses

A présent les analyses réalisée au Mexique et en Russie confirment que les gènes sont de nature non-humaine en partie. Les résultats peuvent être obtenus auprès des commanditaires : Tercer Milenio TV et Gaia TV.
D’autre part, certaines datations interdisent de relier ces êtres aux civilisations précolombiennes puisque l’histoire officielle réfute la possibilité de civilisations durant ces périodes.
Enfin les descriptions suites aux examens réalisés par les spécialistes de l’Institut Inkari Cusco permettent de déclarer que l’une de ces espèces n’appartient pas à la famille des hominidés, à l’ordre des primates, ni même à celle des mammifères. Ses caractéristiques sont celles de reptiles à forme humaine.
Dû au fait qu’ il n’existe pas de différenciation des os comme le radius et le cubitus dans l’avant-bras et le tibia et le péroné dans la jambe (lequel n’a qu’ un os pour chaque extrémité de membre) et l’absence d’os carpien, l’ homologie évolutive ne correspond à aucun ancêtre commun d’aucune espèce de cette planète, bien qu’il garde une certaine analogie anatomique avec les pattes de dinosaures aujourd’hui disparus, de sorte que son origine biologique est inconnue de la science actuelle.

Les résultats d’analyses et arguments sont présentés dans le langage de la science.
Les datations ne permettent pas de correspondance entre les civilisations précolombiennes connues et les organes biologiques.
On constate la description d’une espèce nouvelle sans corrélation homologique avec d’autres espèces et n’ayant pas d’ancêtres commun avec une espèce terrestre.

Leurs propos

« Nous offrons nos meilleurs services pour collaborer avec les autorités afin de démontrer nos affirmations auprès des instances concernées. Nous proposons également de participer à des activités contribuant à défendre et à promouvoir l’importance de notre patrimoine culturel, héritage de nos ancêtres. »

Autopromotion tout en révélant que leurs opinions restent à démontrer.

Nos réponses

Toutes les affirmations des spécialistes sont accompagnées de preuves médicales, de radios, de scanners. Les démonstrations sont filmées et photographiées et partagées à l’international. Toutes ces démonstration peuvent être téléchargées. En voici quelques-unes.

Les spécialistes poursuivent leurs analyses et tentent de formuler leur comptes rendus d’une façon simplifiée et pédagogique, accessibles aux non scientifiques.

« Sonia Guillén O’negglio (DNI 04649168), Guido Lombardi Almonacín (DNI 06959233), Elsa Tomasto-Cagigao (DNI 07258405), María del Carmen Vega Dulanto (DNI 10308912), Mellisa Lund Valle (DNI 07763061), Patricia Maita (DNI 25835019), Martha Palma (DNI 10537749), Carlos Herz Sáenz (DNI 07913390), Alejandra Valverde Barbosa (DNI 48813194), Marcela Urizar Vergara (CI 11347428-9), Claudia Aranda (DNI 20056087), Leandro Luna (DNI 23511760), Paula Concepción Miranda (DNI 29497158), Alejandro Vazquez Reyna (DNI 30651135) »

Noms des scientifiques qui procèdent à des déclarations médiatiques sur cette affaire, alors qu’aucun d’entre eux a procédé à un examen physique des corps et des matériaux biologiques. Aucun n’a consulté les comptes rendus des spécialistes ayant opéré aux analyses pour en tirer des informations fondamentales à la compréhension de la nature et de l’origine des corps.

Edson Salazar Vivanco – Chirurgien,
Raymundo Salas Alfaro – Médecin radiologue,
Ramiro Hermoza Rosell – Chirurgien
Julio Espejo Torres – Médecin-spécialiste des os
Renan Ramírez Vargas – Chirurgien
David Hermosa Gongora – Médecin radiologue
Jésus Zalce Benitez – Médecin légiste, Anthropologue légiste,
Jose De La Cruz Rios – Docteur en biologiste
Konstantin Korotkov – Professeur de physique
Michael Asseev – Analyse génétique
Natalia Zaloznaja – Imagerie et analyse médicale
Mary Jesse – Professeur – Imagerie médicale
Thierry Jamin – Historien Géographe

Nom d’une partie des scientifiques qui se sont exprimés après avoir procédé à des examens des corps et les matériaux biologiques et qui ont tenté d’en transmettre la connaissance.

Comparatif réalisé par Michel Ribardière
Remerciements au docteur Jose De La Cruz Rios, au docteur Jésus Zalce Benitez ainsi qu’aux scientifiques ayant apporté à la rédaction de cette synthèse
Remerciements pour la traduction à Antoine BRUNO.

© Instituto Inkari Cusco – 04/2018

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