Bienvenue sur le site Internet officiel consacré à l’étude de l’affaire des désormais célèbres « momies tridactyles de Nazca » découvertes en 2015 par un groupe de huaqueros péruviens (chasseurs de trésors précolombiens), en un lieu encore inconnu, situé quelque-part,  sur la côte sud du Pérou, au nord de la petite ville de Nazca.

L’affaire des momies non-humaines de Nazca

Grâce à la diffusion de nos vidéos à travers Internet, cette incroyable histoire est aujourd’hui au cœur de l’attention mondiale et ne pourra plus être étouffée. C’était l’un de nos premiers et de nos principaux objectifs.

La genèse (2016)

Depuis la fin de l’année 2016, mon équipe et moi menons l’enquête, appuyés par un réseau d’experts internationaux. C’est sans doute l’histoire la plus incroyable qu’il nous soit jamais arrivé en presque vingt-cinq ans de recherche au Pérou. Mais est-elle vraie ? Cette question lancinante me taraude depuis ce jour d’octobre 2016 où j’ouvris la porte à un certain « Luis Quispe », alias Paul R., détenteur d’un incroyable secret.

Je n’oublierai jamais le regard stupéfait de mes deux compagnons de route, José Casafranca Montés et Edward Valenzuela Gil, lorsque Paul nous dévoila pour la première fois ce petit corps humanoïde de 25 cm de long, cette tête momifiée et cette main gigantesque constituée de trois doigts de six phalanges et munis d’implants métalliques.

Géoglyphe à Palpa, Pérou

Le soutien d’une communauté (2017-2018)

Contre vents et marées, nous avons enquêté au cœur de l’affaire, grâce à « Mario », le chef des huaqueros à l’origine de cette découverte. Durant des mois, nous avons remué ciel et terre pour tenter de sauver une partie du riche matériel biologique rencontré dans ce site mystérieux, caché quelque part à quelques centaines de mètres des célèbres figures géantes de Nazca.

Avec patience, nous avons réussi au fil du temps à gagner la confiance de « Mario ». Une relation franche et amicale s’est même peu à peu tissée entre nous. C’est grâce à cette relation privilégiée qu’il nous a été possible d’étudier un grand nombre des mystérieux corps retrouvés par lui et ses compagnons dans le désert de Nazca.

Grâce à la mobilisation de toute une communauté d’Internautes, nous avons pu lancer à partir de mars 2017 une série d’analyses scientifiques visant à établir, ou non, l’authenticité de ces « entités biologiques » (E.B.).

Enfin, grâce au soutien décisif du journaliste mexicain Jaime Maussan et du groupe nord-américain Gaia.com, l’affaire des « momies non humaines de Nazca » est devenue un phénomène mondial. Personne ne peut plus ignorer l’existence de ces mystérieux corps desséchés.

 

L’affaire de Nazca au Congrès de la République du Pérou (2018)

Le 19 novembre 2018, à l’initiative du congressiste péruvien Armando Villanueva Mercado, l’Instituto Inkarri – Cusco et ses partenaires présentent enfin les résultats quasi définitifs des différentes analyses effectuées sur les momies de Nazca depuis l’année précédente.

Le verdict est tombé : ces corps sont authentiques. (Voir les résultats des analyses sur les pages PEROU 2018 et MEXICO 2023)

Les innombrables examens effectués sur les entités par une pléiade de spécialistes internationaux, les radiographies, les scanners HD, les analyses ADN et Carbone 14, réalisés dans une dizaine de pays à travers le monde, montrent en effet qu’il s’agit bien d’entités ayant vécu sur Terre à une époque reculée de l’histoire des hommes. Et malgré les critiques et les attaques des sceptiques, aucun indice de fraude n’a encore pu être établi.

Les différents corps étudiés sont âgés de 1.800 à 750 ans… et de plus de 7 000 ans pour les grandes mains tridactyles, selon deux laboratoires indépendants ! Les tissus sont secs, desséchés, durs et ont tendance à s’effriter. Aussi, d’éventuelles interventions –comme cela fut sans doute le cas chez « Wawita »- ne peuvent avoir été effectuées récemment, mais plus probablement au moment de leur mort, il y a de nombreux siècles. Peut-être dans le cadre de cérémonies rituelles.

Depuis la « Conférence de Nazca » du 19 novembre 2018, les arguments des détracteurs de cette incroyable affaire ont littéralement volé en éclats. Car en effet, l’hypothèse d’un arrangement avec d’autres espèces connues, humaines ou animales, impliquerait la présence de traces (lésions, cicatrices, etc.).

Conférence sur les momies de Nasca au Congrès de la République du Pérou

Les momies de Nazca à l’Université San Luis Gonzaga de Ica (2019-2022)

En novembre 2019, plusieurs de ces momies ont été officiellement remises entre les mains d’une équipe de chercheurs de l’Université Nationale San Luis Gonzaga d’Ica. Il s’agit des momies connues sous le nom de « Maria », « Wawita », « Victoria » et « Albert ». Au début de l’année 2020, l’équipe de l’UNICA réussit à récupérer un cinquième corps, semblable à la momie « Josefina » et baptisée « Luisa ».

Dirigée par le Professeur Roger Zuñiga Avilés, l’objectif principal de cette équipe de professionnels était de confirmer, ou non, les résultats incroyables obtenus par l’Institut Inkarri et ses différents partenaires les années précédentes.

Durant plusieurs années, et malgré certaines difficultés (dues à la pandémie du Covid-19 ou aux nombreuses tracasseries fomentées par le ministère péruvien de la Culture destinées à confisquer ces momies), l’équipe du Dr Zuñiga parviendra à réaliser une étude approfondie des corps desséchés, en collaboration avec l’Université Nationale d’Ingénierie (UNI) de Lima et diverses institutions internationales, qui désirent, pour le moment, conserver leur anonymat.

L’affaire de Nazca au Congrès de la République…
du Mexique ! (2023)

Le 7 novembre 2023, lors d’une audience publique historique, organisée au Congrès de la République du Mexique, à l’initiative du député Sergio Carlos Gutiérrez Luna et du journaliste Jaime Maussan, au sujet des phénomènes aérospatiaux non-identifiés, Thierry Jamin et l’équipe de l’Université Nationale San Luis Gonzaga d’Ica ont enfin officialisé les résultats quasi définitifs de leurs quatre années d’étude et d’analyses : les momies conservées à l’université d’Ica sont bien authentiques. Ces corps appartiennent à des créatures qui ont bien été vivantes à un moment de notre histoire.

Les conclusions auxquelles sont parvenues les nombreux spécialistes ayant étudiés ces corps se révèlent vertigineuses. Elles confirment à quel point la science moderne doit avancer avec humilité.

LES IMPLICATIONS D’UNE TELLE NOUVELLE, À TOUS LES NIVEAUX DE LA SOCIÉTÉ, SONT IMMENSES. MAIS SOMMES-NOUS PRÊTS À RECEVOIR CETTE INFORMATION ?

AU-DELÀ DU RAISONNABLE, MES CAMARADES ET MOI AVONS PRIS NOS RESPONSABILITÉS. ET NOUS NE REGRETTONS RIEN. C’ÉTAIT UNE AFFAIRE DE CONSCIENCE. CHAQUE CITOYEN DU MONDE DEVRAIT SE SENTIR CONCERNÉ PAR CE QUI SE PASSE ACTUELLEMENT À NAZCA. S’IL S’AGIT DE VÉRITABLES « RELIQUES », C’EST TOUTE L’HISTOIRE DES HOMMES QU’IL FAUDRA BIENTÔT RÉÉCRIRE.

OUI, VOUS N’AVEZ PAS FINI D’ENTENDRE PARLER DES « MOMIES NON-HUMAINES DE NAZCA » ! ATTENDEZ-VOUS À DE GRANDES ANNONCES DANS LES MOIS ET LES ANNÉES À VENIR…

Thierry Jamin,
Président de l’Institut Inkarri – Cusco

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